Tous ceux qui attendent la fin de la coalition FCC_CACH seront fatigués. Tribune de Crispin Byamungu
- franyollagency
- 20 juil. 2020
- 2 min de lecture
RDC:
Pour Kabila-valeur, tous ceux qui attendent la fin de la coalition FCC_CACH pour des dialogues seront fatigués. Tribune de Crispin Byamungu.
Mr. Crispin Byamungu, coordonnateur du mouvement Kabila valeur estime que ceux qui passent leurs journées à attendre la fin de la coalition FCC-CACH feront des AVC, car ça n'arrivera jamais avant 2023.
" Comme vous le savez bien, les élections du 30/07/2018 en RDC nous ont produit des réalités que personne ne s'attendait. Le FCC a gagné près de 3/4 de sièges mais perdu les commandes du pays. Cependant, comme le stipule l'article 90 de notre constitution que le gouvernement doit tenir compte de la représentation nationale, le Chef de l'État; autorité morale du CACH était obligée de coaliser avec l'autorité morale du FCC pour gouverner ensemble étant donné que le FCC a remporté une majorité écrasante à l'Assemblée nationale, au sénat et aux assemblées provinciales. Ce qui implique à la coalition d'être largement majoritaire dans les gouvernements provinciaux et au gouvernement central.
Conscient des enjeux, le président Félix qui comprend que certaines personnes sans base veulent lui pousser à mettre fin à cette coalition, ont eu leur réponse lors de son point de presse tenu à Brazzaville, estimant que la coalition n'allait pas vers la rupture.
Ceci pousse le Mouvement KABILA VALEUR à dire que le président Félix est conscient des enjeux de l'heure et ne peut en aucun cas suivre les ennemis du pays. En outre, l'engouement que la population ne cesse de réserver au sénateur à vie Joseph Kabila Kabange à Kinshasa, prouve que la population porte le FCC dans son cœur et prêt à lui redonner des hautes fonctions lors des échéances électorales prochaines.
Pour Kabila valeur, tous ceux qui réclament un dialogue entre le FCC_CACH et autre cherchent comment intégrer le gouvernement car en étant au chômage ils ne supportent pas la rigueur d'un monde et vie sans emploi.
Bandundu, par Timothée Boke.
Commentaires